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Alyson Dwyer
Les normaux
Alyson Dwyer
Alyson Dwyer
Messages : 3
Date d'inscription : 18/10/2016
Age : 28
Emploi/loisirs : Journaliste
Humeur : Sanguinaire
Les normaux
Lun 31 Oct - 19:37


Alyson Dwyer


Nom : Dwyer
Prénom : Alyson

Âge : 26 ans
Date de naissance : 23/11/2054

Sexe : Féminin
Sexualité : Bisexuelle

Origines : Irlandaises
Nationalité : Irlandaise

Métier : Journaliste au Jinchiku Times 
Statut social : Classe moyenne

Avatar : Sakura Kyoko - Mahō Shōjo Madoka Magika


Caractère
Alyson souffre de schizophrénie paranoïde, ce qui rend son caractère des plus complexes. Sa maladie évoluant par périodes, la jeune fille connaît ainsi deux caractères distincts. Quand le Murmure lui octroie un peu de répit, Alyson se révèle être une personne particulièrement enjouée et pleine de vie. Elle a le rire facile, l’œil pétillant et ne tient pas en place. Très active, elle se donnera à fond dans chacune de ses activités, même les plus insignifiantes. Elle souffre néanmoins d’une timidité maladive qui l’empêche significativement d’interagir avec les gens qui l’entourent. Abordez-la pour la première fois et elle vous jettera un regard angoissé sur un fond de rouge écarlate, avant de se pétrifier ou carrément de s’enfuir. Cependant, une fois la relation un peu mieux installée, elle apparaît comme une amie douce et attentive, très dévouée. Il faut dire que ses amitiés sont si rares qu’elle en chérie chacune d’entre elles.

Hélas, ces moments de délicatesse ne durent jamais bien longtemps. Sitôt que le Murmure lui susurre quelque chose à l’oreille, Alyson se métamorphose. Froide, distante, elle fait preuve d’une réelle animosité à quiconque ose l’approcher, ami, ennemi ou pur inconnu. Dans ces périodes de folie, elle oublie tout ce qui pouvait la lier à quelqu’un ; persuadée que le monde qui l’entoure a pour unique objectif de lui nuire, elle s’entoure d’un voile d’agressivité pour se protéger. Le moindre geste de votre part sera suspicieux. Absolument. Tout. Même les objets inanimés lui paraissent parfois de dangereux criminels à éliminer au plus vite.
En effet, son seul soulagement dans ces moments est la destruction. Objet ou personne, chaque menace potentielle doit être supprimée. Et Alyson est prête à tout pour y parvenir. Les meurtres sont donc chose commune dans la vie de la demoiselle. Etonnement vigoureuse sous ses airs délicats, ses victimes n’en mènent souvent pas large. Guidée par un esprit vif, douée pour imaginer d’ingénieux scénarios, elle se montre particulièrement astucieuse dans le crime en lui-même et sa dissimulation. Elle fait preuve d’une originalité et d’une imagination sans faille quand il s’agit de monter une nouvelle scène de crime de toute pièce, sans compter son écriture quasiment lyrique quand il s’agit d’étayer ses propres hypothèses dans la rubrique de son journal. Il faut dire que le Murmure est toujours de bons conseils.

En somme, Alyson est une personne que d’aucuns qualifieraient d’étrange. Excentrique aux deux extrêmes, elle apparaît comme une personne tourmentée. Excessivement renfermée et pourtant très colorée quand elle se trouve avec quelqu’un, il est difficile de la situer. Toujours sur le qui-vive, elle garde toujours un couteau tranchant dissimulé dans les replis de sa robe ou dans sa botte (voire les deux). De plus, elle possède de nombreux tics nerveux parfois très voyants, et se sent obligée d’accomplir des petits rituels sans queue ni tête chaque jour, persuadée que malheur lui arriverait si jamais elle y dérogeait.
Physique
Alyson possède une apparence très juvénile. Tant dans sa stature frêle que ses traits fins, un observateur peu attentif pourrait la prendre pour une lycéenne en dernière année. Du haut de son mètre soixante et quelques, notre jeune fille passerait aisément inaperçue si sa chevelure particulièrement flamboyante ne jurait pas avec son environnement. En effet, ses longs cheveux raides lui arrivant jusqu’aux fesses sont d’une belle rousseur cuivrée comme on en voit rarement. Vu le nombre considérable de tignasses rousses parmi les membres de sa famille, cette couleur atypique est vraisemblablement familiale.
Comme assortis à ses cheveux, ses yeux sont d’une couleur virant sur la rouille. Sa frange et ses mèches encadrent un visage doux, aux courbures chaudes et inspirant la délicatesse.

Du côté vestimentaire, Alyson affectionne beaucoup les robes, souvent de couleurs chaudes, avec de la dentelle et de nombreux volants. Plus c’est mignon, mieux c’est. Elle agrémente régulièrement sa tenue avec un ruban noir retenant ses cheveux. Elle possède également un collier qu’elle ne quitte jamais : une pierre d’un rouge vif reposant aux creux de sa poitrine, à laquelle elle semble très attachée.

Néanmoins, quand Alyson est sous l’emprise du Murmure, son allure douce et délicate semble profondément altérée. Son timide sourire s’évanouit, remplacé par un rictus pernicieux ; les rides aux coins de ses yeux lui confèrent un regard transpirant la violence tout en paraissant terriblement vide. C’est d’ailleurs dans ces moments que l’on peut s’apercevoir que sa stature fluette n’est que tromperie : elle peut alors faire preuve d’une force insoupçonnée et destructrice.

Histoire
Alyson Dwyer est née le 23 novembre 2054, fille de deux Irlandais pure souche, Kay et Alastar. Il s’agissait de leur premier enfant, et le couple fut comblé avant même que les premiers cheveux roux parsèment la tête de leur fille.

Alyson fut chérie et élevée avec tendresse. Ses parents étaient présents pour elle et savaient lui consacrer du temps. C’était une enfant particulièrement sage, à l’écoute, et attentive à son environnement, regardant sans cesse autour d’elle avec un air d’étonnement constant.
Quand elle entra à l’école primaire, les professeurs la félicitaient pour son sérieux et son application mais regrettaient néanmoins sa timidité presque maladive. Très mal intégrée, Alyson passait la plupart de ses récréations seule, sous un arbre ou planquée entre deux buissons, à gribouiller dessins et histoires sur son carnet qui ne la quittait jamais. Quand la rouquine eût 7 ans, une petite sœur vint s’ajouter à la famille : Isleen Dwyer. Arborant la même chevelure de feu, elle était vive et rieuse. Alyson s’attacha vite à sa petite sœur ; peut-être sa solitude à l’école se devait d’être compensée quelque part. Quoi qu’il en soit, elle passait le plus clair de son temps libre avec Isleen, avec l’idée tenace de la protéger de quiconque se dresserait sur son chemin.

Mais au fil des années, sa réserve ne cessait de grandir. Le collège fut un nouveau monde, et ce monde avait grandi, en taille comme en perfidie. Alyson fut vite désignée comme la curiosité de la classe ; la fille qui ne parlait jamais, qui fixait ses pieds, qui balbutiait, et qui, pour couronner le tout, avait l’audace d’avoir de bonnes notes. Les railleries de ses camarades s’accentuant, la phénomène semble prendre un nouveau tournant : Alyson fut souvent surprise en train de marmonner tout bas, les yeux dans le vague, ou s’agiter de tics divers et variés quand elle devait parler à quelqu’un. A la maison, ces changements se firent également sentir. Ses parents remarquèrent bientôt les petits rituels journaliers qui prenaient possession de sa vie : sauter la dernière marche des escaliers, toquer deux fois sur la porte du frigo avant de l’ouvrir, faire coulisser quatre fois la porte du placard avant de réellement se servir à l’intérieur, classer les aliments dans son assiette par forme ou couleur, adopter une coiffure différente pour chaque jour de la semaine, et bien d’autres petits gestes d’apparence futile. Cela aurait pu être conciliable si leur importance et leur nombre ne semblaient pas grossir chaque jour ; si par malheur Alyson était forcée d’enfreindre l’une de ces règles, elle faisait preuve d’une grande colère ou tristesse, criant, pleurant, s’enfermant dans sa chambre. En outre, ouvrir quatre fois la porte du placard avant de s’en servir n’était qu’un des nombreux exemples se montrant particulièrement chronophages.

Kay et Alastar devinrent suffisamment inquiets pour en parler au docteur familial. Ce dernier, bien que songeur devant cette petite fille qui classait ses crayons par ordre de grandeur sur son bureau, s’employa à rassurer le couple : peut-être Alyson était-elle stressée, et qu’il s’agissait ici de sa façon d’évacuer ce malaise. La timidité n’étant pas une maladie en soit, il avait bon espoir que la rouquine finisse par s’ouvrir aux autres en grandissant et par conséquent, atténue ce stress en se liant aux autres. S’accrochant à ce diagnostic apaisant, Kay et Alastar remercièrent chaleureusement le médecin et s’employèrent à soutenir Alyson dans ses tentatives de socialisation.

Mais la situation ne s’améliora jamais.


« A toi Cesair ! - Oui oui, je joue... -Il n'aurait pas un W le p'tit Cesair ? - Oui il en a un. - Pauvre lui ! - Pourquoi ? - Bah à part "wapiti" on peut rien écrire avec un W - Je suis sûre qu'il peut y arriver ! Courage, mon poussin ! »

Quelle torture ... Tout ces gens, sa famille, apparemment ... Elle se sentait tellement déconnectée de ces êtres ... Alyson gardait le regard rivé sur le bout de ses pieds, s’appliquant à respirer ; elle avait peur d’oublier. Elle avait chaud ; mais pas comme si le Soleil frappait sa peau. Non, comme si un brasier grondait dans ses entrailles, menaçant de faire exploser son crâne, faisant trembler ses mains et plisser son nez de souffrance.

« Ah ! Je savais que tu jouerai ton W ! C’est quoi ? ''Edrew ? '' - C’est un M, tu lis le mot ''merde'' à l’envers, le vieux. »

« Tu vaux mieux que ça. » entendit Alyson au creux de son oreille.

Elle tourna doucement la tête, alerte. Elle ne savait pas d’où venait ce Murmure, mais étrangement, cela ne la surprenait pas. Comme si elle avait toujours su qu’un jour, le Murmure lui parlerait. Finalement, elle était presque soulagée. Le Murmure le comprendrait, lui. Il était en elle depuis toujours. Il saurait quoi faire. Il saurait comment apaiser cette souffrance.

« Tu vaux mieux que ça. » répéta-t-il.

Alyson hocha la tête. C’est vrai, elle valait mieux que ça. Elle se leva doucement de sa chaise, sans un regard pour les joueurs de Scrabble, et leur tourna le dos, s’éloignant sans trop savoir où. Elle entendit vaguement quelqu’un l’appeler, mais elle l’ignora. Elle valait mieux que ça.
En passant par la cuisine, le Murmure lui intima : « Prends-le. » Alors elle prit le couteau à pain sur la table, puis sortit dans le jardin.

L’air avait une étrange consistance. C’est du moins ce que pensa la rouquine quand elle foula l’herbe au dehors. Après quelques pas hasardeux, elle s’arrêta. Elle ne s’était jamais sentie aussi mal de sa vie. Pourquoi personne ne comprenait ça ? Pire, pourquoi tout le monde était-il contre elle ? Pourquoi les autres s’évertuaient-ils à la blesser ? Elle se sentait si seule. Des larmes roulèrent sur ses joues. « Suis-le. » lui ordonna soudain le Murmure. Alyson leva la tête et vit le père de Cesair, Yasutora, s’assoir près d’un arbre pour y fumer une cigarette. Curieuse, Alyson l’approcha subrepticement par derrière, camouflée par les buissons.

Il était tout près. Elle pouvait sentir la fumée de sa cigarette lui brûler la gorge, et elle plissa le nez. Elle n’aimait pas cette odeur. Elle l’observa pendant quelques instants, incertaine sur ce qu’elle était censée faire. Elle avait peur ; cet homme était menaçant, n’est-ce pas ? Il faisait certainement partie de ceux qui lui voulaient du mal. Peut-être que dès qu’elle aurait le dos tourné, cet homme ... il … il ... Alyson fut parcourue d’un frisson. Non ! Non ! Pourquoi ? Elle n’avait rien fait de mal ! Pourquoi cet homme lui en voulait-il ? Pourquoi voulait-il attenter à sa vie ? Non ! Non ! Elle avait si peur !

« Il va te tuer, Alyson. » susurra le Murmure.

« Non ... » murmura-t-elle.

« Si ce n’est pas toi, c’est Isleen qu’il tuera. »

« Non ! Tout mais pas ça ! »

« Tue-le, Alyson. »

Elle se redressa, son regard tombant sur le couteau qu’elle tenait. Elle le serrait si fort que ses doigts étaient blancs. Oui ...Le tuer ... La solution lui paraissait à présent évidente. C’était comme voir une intense lueur après avoir erré des jours dans un sombre souterrain. Bien sûr ! Le tuer ! Elle pourrait protéger tout le monde ! Non, attends, pas tout le monde ... Après tout, le monde lui veut du mal ... Mais, et Isleen ? Non, pas Isleen. Quoique, elle faisait partie du monde elle aussi, non ? Non ! Non ? Elle n’était plus très sûre. Mais pourtant ! Tout irait mieux si elle le tuait, n’est-ce pas ? C’était la solution, évidemment, en plus, le Murmure lui avait dit. Mais que ferait-elle pour les autres ? Tout ces gens qui la regardaient, tout ceux qui ne rêvaient que de la faire taire à jamais, de la faire souffrir, de ...

« TUE-LE. » aboya le Murmure.

Alyson bondit telle une furie hors de son buisson. Aussitôt, elle agrippa d’une main le cou de Yasutora avant de trancher sa gorge de son autre main, le couteau à pain entrant allégrement dans sa chair. Le sang gicla son sur visage, c’était chaud, c’était bon. L’homme hurla, tant de surprise que de douleur, et la rouquine sentit une délicieuse énergie l’envahir. Enfin ! Enfin, elle se sentait complète !

« CONTINUE ! » hurla le Murmure.

Un sourire de ravissement tordant son visage, Alyson abattit une nouvelle fois son couteau tandis que Yasutora tombait à terre, son sang se déversant à une vitesse fascinante. La rouquine se mit à rire au rythme de ses coups, sa lame transperçant la chair de la victime de toute part, se délectant du visage frappé d’horreur qui lui faisait face. Elle ne s’était jamais sentie aussi bien de sa vie.

« Ils sont là. » l’avertit le Murmure.

Alyson se releva et contempla un instant son œuvre : le corps de Yasutora, difficilement reconnaissable tant il était déchiqueté de toute part, gisait à ses pieds, le sang formant peu à peu une marre sombre. Arborant un immense sourire d’allégresse, elle se retourna vers les nouveaux venus annonça joyeusement :

« C’est moi qui l’ai tué. »

Trouvant la situation particulièrement exaltante, elle éclata d’un rire sonore, ses longs cheveux frissonnant contre sa robe à rubans tachée de sang.


Alyson avait 11 ans lors de cet incident. Atterrés par cet évènement, ses parents l’envoyèrent chez le médecin, affirmant que la situation s’était aggravée pour leur fille, sans toutefois préciser qu’il y avait un meurtre en jeu, par peur des conséquences. Alyson passa quelques mois à l’hôpital. Les médecins incitèrent le couple à envoyer leur fille en hôpital psychiatrique, au moins pour une petite période. Toutefois, pensant à sa propre mère souffrant de schizophrénie, Kay refusa d’admettre que la même pathologie pouvait affecter sa fille et refusa tout net. Alyson semblant calmée, elle rentra à la maison. Et puis, elle était si jeune ... ce n’était qu’une petite fille ! Il n’était pas possible que leur petite fille soit une meurtrière ... si ?

Si. Le retour à la maison fut un calvaire. Alyson rechuta aussitôt et fit preuve d’une violence inouïe, sans cesse à l’affut, voyant le mal partout, persuadée que chaque être vivant n’était destiné qu’à lui nuire. Incapables de voir la réalité en face, ses parents firent leur possible pour la garder à la maison et gérer la situation d’eux-mêmes. Mais le jour où Isleen fut grièvement blessée au visage par sa propre sœur lors de l’un de ses accès de paranoïa, Kay et Alastar durent se rendre à l’évidence.

Alyson fut diagnostiquée schizophrénique paranoïde. Ce fut le début d’une longue excursion d’hôpitaux en hôpitaux. L’état mental d’Alyson ne cessant de s’aggraver, elle était sans cesse confiée à un nouvel hôpital psychiatrique dans l’espoir que cet environnement lui conviendrait mieux ; mais ce n’était jamais le cas. Ses parents étaient submergés de désespoir, impuissants face à la maladie de leur petite fille. Alors le jour où on leur proposa d’envoyer Alyson au Japon, dans une structure proposant une nouvelle forme de traitement, toujours au stade de recherche, ils n’hésitèrent pas beaucoup. A 15 ans, Alyson découvrait ainsi la ville de Jinchiku.

Contre l’attente générale, Alyson répondit au traitement. Elle semblait relativement stable, et put même poursuivre ses études au sein de la structure. A 19 ans, elle put sortir sous surveillance. Elle était sans cesse accompagnée d’un tuteur, Hisao, qui veillait sur elle, s’assurant que tout se déroulait bien dans son retour à la vie quotidienne. Le courant passa bien entre eux, et malgré la règle tacite de ne pas impliquer les sentiments dans ce genre de travail, ils devinrent très proches. Alyson entra dans une école de journalisme et s’en sortit brillamment, ses talents de bon élève n’étant visiblement pas altérés. Sérieuse et appliquée, elle entra au Jinchiku Times, le journal phare de la ville, et s’y fit sa place. Appréciée par ses collèges, elle s’occupait de diverses chroniques sur les faits de société et derniers évènements se produisant en ville.

Mais Alyson n’était en aucun cas guérie. A 23 ans, le Murmure se fit entendre de nouveau, et il était en colère. La rouquine sentit elle aussi cette fureur, une fureur malsaine qu’une seule chose pouvait calmer : elle assassina Hisao, son tuteur et compagnon. Son méfait accompli, Alyson sut qu’elle devait changer la donne si elle ne voulait pas de nouveau être coincée dans un hôpital. Sur les bons conseils du Murmure, elle déplaça le corps à un endroit propice et conçut toute une scène de crime de ses petites mains. Puis, dans sa chronique du lendemain, elle y décrit le meurtre en exclusivité, étayant ses hypothèses et ses preuves, certes fabriquées, mais solides.

Son article eût l’effet d’une bombe. La police, d’abord suspicieuse quant aux dires de cette jeune demoiselle, furent vite stupéfaits devant ses explications d’apparence tout à fait logique.  Contre toute attention, la voie indiquée par Alyson fut suivie, et un innocent finit derrière les barreaux après une enquête longue et pleine de cafouillages. Cet incident provoqua bien des troubles parmi l’institution qui engageait Hisao et provoqua un vent de révolte contre les conditions dangereuses de travail. Dans la confusion qui s’en suivit, le cas d’Alyson Dwyer tomba étrangement dans l’oubli, et elle fut livrée à elle-même. A moins que ce phénomène ne soit pas un hasard total ...

Aujourd’hui, Alyson vit en totale liberté à Jinchiku, bien qu’elle prit le soin de ne jamais le préciser à ses parents. L’assassinat d’Hisao s’étant révélé être une expérience des plus plaisantes, le meurtre est une habitude à présent régulière pour elle. Que sa victime soit un élément perturbateur dans sa vie ou un simple inconnu, la rouquine se montra particulièrement douée pour monter des scènes de crimes de toutes pièces, qu’elle exposait ensuite en détail dans sa rubrique habituelle au journal. Les gens raffolant habituellement de ragots croustillants et malsains, sa rubrique en devint d’ailleurs particulièrement populaire. Et si la police se montre bien sûr sceptique devant tant de savoir d’une simple journaliste, ils n’eurent jamais matière à l’accuser de quoi que ce soit.
Et Alyson adore les faire danser.


Goûts
Outre son apparence juvénile, son caractère à la limite de l’enfantillage contribue une fois de plus à la rendre plus jeune qu’elle ne l’est réellement. Entretenant un véritable culte pour tout ce qui est mignon, sa définition de la chose semble néanmoins différer de l’opinion générale. Quelle que soit sa cible, elle en deviendra fanatique, à la limite de l’obsession, et sera dans un état d’hystérie jusqu’à ce qu’elle puisse ramener l’objet (ou la personne) en question chez elle. Ce sont peut-être les seuls moments où sa timidité est mise de côté pour quelques instants.

En fait, ses goûts sont étonnement faciles à cerner. Elle affectionne les jolies robes, les rubans, les peluches et les animaux. Elle est d’ailleurs végétarienne. Néanmoins très gourmande, elle passe quasiment sa journée à grignoter chocolat, biscuits et bonbons (sans prendre un kilo ... monde injuste). Elle connaît un nombre impressionnant de jeux de société mais n’a hélas pas beaucoup l’occasion d’y jouer, étant peu entourée. Elle est cependant une adversaire redoutable et ne joue que pour gagner. Elle aime d’ailleurs ajouter un petit gage croustillant à la clef pour le perdant ...

En plus de sa rubrique dans le journal, Alyson écrit également beaucoup pour elle : des histoires, des pensées, des poèmes ... tout cela consigné dans de nombreux journaux dont elle possède toujours un exemplaire sur elle. Elle s’essaie également au dessin mais s’estime insuffisamment douée. Un œil extérieur sur ses journaux s’en verrait sûrement profondément perturbé devant l’hétérogénéité des sentiments qui en dégagent, dévoilant une alternance dramatique entre gaité extrême et fureur sanguinaire.

Toutefois, prise dans sa jolie, tout change. Plus rien de tout cela ne compte. La seule chose qui importe alors est le meurtre ; et cela la transporte au septième ciel.
Logement
Alyson habite un appartement en plein centre de Jinchiku. Bien qu’un peu petit, il est très bien situé, dans une rue piétonne foisonnant de cafés et de petites épiceries. Elle habite au troisième étage. Il n’y a que deux pièces, la chambre faisant office de pièce de vie, et une salle de bain, séparée par une porte coulissante. L’intérieur y est excessivement encombré  par ses affaires dont les nombreux trésors de mignonnerie qu’elle ramène chez elle. Son lit est recouvert de peluches, ses murs sont tapissés de dessins et une petite bibliothèque déborde de livres empilés. L’ensemble est néanmoins savamment agencé si bien que cela ne paraît pas trop en désordre, bien que ses multiples accès de violence et de folie aient souvent mis l’appartement sens dessus-dessous.



Quel est ton pseudo courant ? Tsuki
Quel âge as-tu ? 20 ans
As-tu pris le temps de lire les règles ? Je suis au-dessus des lois !
Quel est donc le code caché ? ... J'ai dit que j'étais au-dessus des lois :c
Qu'est-ce qui t'a attiré sur le forum ? Mon cousin d'amour ♥
Comment l'as-tu découvert ? On me l'a murmuré.
Y changerais-tu quelque chose ? Nipaah ~


Alyson Dwyer
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Emploi/loisirs : Faire chier tout le monde !
Humeur : Viens là que je te viole le bonbon !
Mar 22 Nov - 17:40
Bon alors !!! Je remarque que j'avais fais les recensements, mais que je t'avais pas validée... Débile que je suis xD Mille pardons !!!

Tu es validé


Félicitation ta fiche a enfin été validée par le staff !!! Tu peux maintenant aller faire ta fiche de liens et ta fiche de RPs afin que nous puissions suivre les aventures trépidantes de ton personnage ! Et puis, pour lui mettre un peu des batons dans les roues, tu peux aussi faire une demande d'adoption~
PNJ - GAH
https://hgav2.forumactif.org/t11-fiche-relations-exemple https://hgav2.forumactif.org/t12-fiche-rp-exemple
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