NC15/18 - Hentaï | Yuri | Yaoi
 
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Je ne suis qu'un vieil homme qui passait par là~

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Cesair T. Akatsuki
Les riches
Cesair T. Akatsuki
Cesair T. Akatsuki
Messages : 4
Date d'inscription : 09/10/2016
Age : 28
Localisation : Au bar~
Emploi/loisirs : Courir après quelques jupons~
Humeur : Je ne suis qu'un papy sénile~
Les riches
Dim 9 Oct - 12:13


Cesair Toramasa Akatsuki


Nom : Akatsuki
Prénom : Cesair Toramasa

Âge : 46 ans au compteur les p'tits jeunes~
Date de naissance : 29/02/2034

Sexe : Voyons, je n'ai pas le charme de ces dames... Elles seraient vexées si l'on me comparait à elles...
Sexualité : Pansexuel, j'aime tout le monde et à toutes les sauces~

Origines : Irlando-nippones
Nationalité : Irlandaise de naissance, puis japonaise par la suite.

Métier : Officiellement je ne suis qu'un cadre supérieur de Toragumi Industries, mais officieusement je suis l'un des lieutenants de la mafia~
Statut social : Riche pourrait-on dire, Toragumi Industries payent bien les cadres supérieurs, surtout lorsqu'ils font des heures supplémentaires.

Avatar : Akabayashi Mizuki de Durarara!! Les roux prendront le pouvoir <3


Caractère
Ce que la plupart des gens disent de moi, c'est que je suis comme un serpent, mal camouflé sous une peau de gentil chien pataud. Du moins c'est ce que disent ceux qui ont un certain sens de l'observation et qui arrivent bien à cerner les gens. Ce qu'ils m'embêtent ceux-là alors, d'être aussi suspicieux à mon égard... Après tout je ne suis qu'un vieil homme plus prêt de la cinquantaine que de la quarantaine et qui n'aspire à rien d'autre qu'un peu de tranquillité mêlée à quelques rebondissements dans sa vie...

Aux premiers abords, je suis une personne qui peut paraître très chaleureuse et souriante, toujours prêt à instaurer de la bonne humeur partout où il passe et prêt à régler n'importe quel malentendu. Enfin, c'est cette impression que j'aime donner dans mon travail au sein de la mafia. Hypnotiser la proie, avant de l'empoisonner de mes crochets emplis de venin. Bon, je ne mords que rarement depuis quelques années déjà ! Ma réputation me précède et évite généralement que je n'ais à me salir les mains... Et puis je ne suis plus tout jeune, il y a peu de chance que j'arrive à mettre à terre une bande de jeunes à la santé bien meilleure que la mienne ! Après, j'ai des hommes de main pour arriver à les dissuader mais même dans ce genre de situation, je ne quitte jamais mon sourire. Certains me traitent de vieillard sénile à cause de ça, d'autres disent que je suis un grand sociopathe.

Mais ce n'est pas ma faute, j'ai passé l'âge de parler avec la violence et je suis bien plus porté sur la diplomatie depuis. Je suis quelqu'un d'une politesse à toute épreuve et on pourrait même m'attribuer un comportement de dandy. Toujours courtois et galant, malgré ma profession, je respecte tout le monde. Même si parfois cela ressemble à du sarcasme....~ Ma famille est probablement la seule exception à la règle. Même si je suis d'un naturel chaleureux et très familiale, un drame au sein de ma famille a fini par faire en sorte que je suis devenu très distant vis-à-vis de cette dernière, ainsi qu'avec la plupart de mes relations personnelles. Sans réellement m'en rendre compte, j'ai fini par construire une coquille autour de moi pour m'éloigner de ceux que j'aimais, au point de m'éloigner d'eux et de ne plus jamais prendre de nouvelles. Je l'ai fui, je suis froid et distant. C'est par ailleurs pour cela que ma femme a finalement demandé le divorce et que mon fils ne me parle plus. Même si j'essaie maintenant désespérément de renouer le contact avec lui. Mais c'est bien le seul.

Car dans le fond, je suis vide. Je n'éprouve que très rarement des sentiments, que cela soit de l'empathie, de l'affection ou même de la colère. Petit à petit, j'ai fini par me détacher de tout ça pour me protéger moi-même par rapport à la mort de mon père. Et je maquille ce manque d'émotion par une exubérance à toute épreuve, surjouant les dandys et passant mon temps à tenter de charmer les jeunes dames que je rencontre. Et les jeunes hommes aussi. Je suis un épicurien de nature, appréciant grandement la bonne nourriture, les bons vins, l'art et la discussion. Cela me permet de faussement combler ce manque en moi et il m'arrive parfois même de céder au péché de la chair, même si cela est rare. Je ne suis pas quelqu'un de très porté sur la chose. Et puis... Qui voudrait d'un vieux, hein ?
Physique
On ne peut pas dire que je suis une personne qui impressionne par sa carrure, loin de là ! Mesurant un mètre soixante-dix-huit, on voit bien là mes origines japonaises qui font que je ne suis pas d'une grandeur hallucinante, comme c'est le cas de beaucoup de jeunes gens ces derniers temps... Nous sommes au Japon, mais j'ai rarement vu autant de jeunots mesurant plus d'un mètre quatre-vingt-cinq et allant même jusqu'à plus d'un mètre quatre-vingt-dix pour certains ! Mais que mangent les jeunes de nos jours, j'aimerais bien le avoir... A côté j'ai l'air d'un petit vieillard commençant à devenir bedonnant. Oui bon, avec mes quatre-vingt-trois kilos, je n'ai rien d'un homme qui passe son temps à rester assis dans son canapé à boire des bières ! Et j'ai encore un peu de ma forme d'autrefois, malgré que mes muscles commencent à doucement s'enrober d'une fine couche de graisse ! Et avec le temps, mon corps commence à ralentir et il est certain que je suis loin d'avoir la forme de quand je n'avais pas encore trente ans ! Mais je continue de m'entraîner tous les matins !

Les arts martiaux permettent bien sûr d'entretenir mon corps, mais je dois avouer que maintenant, je m'entraîne quotidiennement essentiellement pour trouver une certaine paix intérieure. Il ne faut pas croire, c'est une pratique très reposante quand on ne cherche pas à s'entraîner en tapant comme une brute dans un sac ! Et puis la violence, toujours la violence... Cela n'a rien de gracieux et d'intéressant. J'ai des hommes de main pour cela, alors à quoi cela servirait que je m'abaisse à ce niveau. Mais si je dois me défendre, je le ferai ! Même si maintenant je pratique essentiellement le judo en technique défensive, me servant simplement l'attaque de mes adversaires pour retourner leur poids et leur élan contre eux. Je n'utilise plus guère de techniques d'attaque depuis bien longtemps... Ou alors simplement en utilisant les techniques aux bâtons, avec ma canne. Mais j'avoue que je n'ai guère besoin de cette dernière pour me déplacer et que je la garde simplement parce qu'elle ajoute à l'image de dandy que j'aime donner.

Je suis un rouquin et pas qu'un peu ! Là-dessus mes origines écossaises ont primé et cela semble être une malédiction génétique que toute ma famille devra supporter ! Ma mère était rousse, son frère, ma sœur et ma cousine également, mon fils aussi et je suis sûr que mes petits-enfants le seront également ! A ce qu'il paraît, nous sommes pourtant une espèce en voie d'extinction, mais quand je vois ma famille maternelle et ma descendance tout porte à croire le contraire... Surtout que nous sommes des roux tirant vers le rouge et non des roux orange poil de carotte ! Un coiffeur m'a une fois informé qu'un tel roux était associé à une défaillance des gênes déterminant la couleur des cheveux et que l'on appelait ça, le rutilisme. Donc en réalité, je ne devrais pas dire que nous sommes roux, mais rutilique ! Comme c'est amusant... J'ai des yeux bruns également, qui sont tout à fait banal. Hormis pour la cicatrice qui me barre l’œil droit. Un petit accident pendant que je faisais mon travail pour Toragumi Industries, dira-t-on~

Hormis cela, j'ai l'air d'un homme tout à fait banal. Hormis pour le tatouage japonais qui me recouvre l'intégralité du dis et signifiant clairement mon appartenance à un clan de yakuza ! La pièce représente donc un tigre, à l'effigie de ce que représentent réellement les Industries Toragumi... Mais pour le voir il faudrait que je me déshabille ! Ce que je ne fais pas souvent. Je suis quelqu'un de pudique et de très humble sur la présentation de mon corps. Je ne suis guère le genre de personne à exposer outrageusement ma chair ! Je n'y trouve là aucune utilité et à quarante ans passé, je doute que cela intéresse beaucoup de personne ! En plus de me rendre vulnérable aux attaques ! Le seul moment où vous pourrez le voir sera donc au moment où je me change pour aller me laver. Car je dors en pyjamas et je porte toujours une chemise légère sur le dos quand je vais à la plage. J'ai la peau blanche des Japonais qui craint beaucoup le soleil.

Histoire
« C’est moi qui l’ai tué. - Qu ... Quoi ? Qu’est-ce que tu dis ? » Pour toute réponse, elle éclata d’un rire sonore, les yeux exorbités. Mais revenons d'abord une trentaine d'année en arrière.

Je suis le premier né de Yasutora Akatsuki et de Freya Dwyer, un couple s'étant rencontré sur les terres natales de ma mère, où était venu étudier mon paternel. Ils s'étaient rencontrés par hasard et par la suite, ne s'étaient jamais quittés. Enfin, il avait fallu un petit coup du caractère de mon vieux pour que cela se fasse ainsi. Car au final, c'était lui qui était tombé fou amoureux du premier regard, en apercevant cette femme à la tignasse si rousse qu'elle en paraissait rouge. Le rutilisme que s'appelait sa couleur si particulière, une mutation sur le gène qui déterminait la couleur du cheveux. Toute sa famille en était atteinte. Mais ça, mon daron ne le su qu'à partir du moment où elle voulu bien lui adresser la parole, car la lionne ne s'était pas laissée faire, la première fois qu'il l'avait accostée dans le pub où ils s'étaient rencontrés.

Il fallut déballer des trésors de patience à mon père pour réussir à dompter ma mère. La première fois qu'il l'avait accostée, elle l'avait rembarrée. La seconde fois dans la même soirée, elle avait carrément quitté les lieux avec ses amis. La troisième fois une semaine plus tard dans le même bar, les résultats n'avaient pas été mieux pour mon pauvre nippon de père. Mais la quatrième fois fut la bonne. Enfin... Elle accepta enfin de lui parler, hein... Il ne la serra pas tout de suite, car sinon elle lui aurait décoché un direct du droit en pleine mâchoire. Et ça, à force de râteaux, mon père l'avait compris sans le subir. Et finalement ils avaient continués à se voir, d'abord aux différentes soirées qui les rejoignaient dans ce pub qui étaient devenu leur lieu habituel, puis ailleurs.

Mon père en avait appris beaucoup sur ma mère, qui avait finalement accepté de s'ouvrir un peu à lui. Elle s'appelait Freya Dwyer, avait dix-huit ans, ainsi qu'un petit frère de huit ans son cadet, atteint comme elle et leur mère, de rutilisme. Sa mère était également atteinte de schizophrénie paranoïde qui faisait qu'ils ne vivaient, elle et son frère, qu'avec leur père et leurs grands-parents, leur mère étant internée car beaucoup trop dangereuse pour elle et ses proches. Et ce genre de maladie psychotique étant héréditaire, Freya n'avait qu'une seule peur, finir par elle-même en être atteinte et que c'était pour cela qu'elle se méfiait de toutes nouvelles personnes entrant dans sa vie. Et que c'était donc pour cela qu'elle avait été aussi revêche avec mon paternel, les premières fois qu'elle l'avait rencontrée.

Cet aspect de la personnalité de ma daronne avait beaucoup faire rire mon père au début, trouvant là le charme de la rouquine et de son caractère de feu. Et ils ne leur avaient pas fallu longtemps pour se mettre ensemble et qu'accidentellement, je n'arrive. Oh non, je n'étais pas un enfant non-désiré ! Mais je venais peut-être un petit peu trop tôt dans leur vie, par rapport à ce qu'ils avaient prévus ! Après tout, ma mère n'avait que dix-neuf ans quand je naquis et mes parents auraient d'abord voulus avoir une situation plus stable et surtout, savoir si leur relation était réellement du solide avant d'avoir un enfant ensemble. Mais je leur démontrai que c'était bien le cas, car ils restèrent toujours ensemble, jusqu'à ce que la mort les sépare...

Je naquis avec un duvet aussi rouge que les cheveux de ma mère sur le crâne et on su immédiatement que je serai bien un Dwyer malgré mon métissage japonais. Mon père rit du fait que j'allais porter son nom de famille, qui m'allais comme un gant, Akatsuki. Pour le prénom, ce fut beaucoup plus ardu. Mon père voulait me donner un prénom japonais, alors que ma mère en voulait un irlandais. « Nous sommes en Irlande, il grandira en Irlande, il se doit d'avoir un prénom irlandais ! » Qu'avait décrété ma mère. Son raisonnement ne valait pas un pet de mouche, mais mon père avait finalement cédé. Tout en exigeant tout de même que mon second prénom soit japonais pour sa part, comme ça tout le monde était content. Et c'est ainsi que je fus baptisé Cesair Toramasa Akatsuki.

Je fus un gosse charmant toute mon enfance. Un enfant énergique qui faisait rire tout mon entourage par ma tchatche et mon côté charmeur, il m'arrivait de faire des bêtises mais j'étais tout de même relativement sage. Pas une fois j'ai piqué une crise de colère parce que je n'avais pas tel ou tel jouet ou parce que j'étais fatigué et que je voulais qu'on rentre à la maison, poussant ainsi mes parents à quitter la bonne soirée à laquelle ils étaient. J'étais un gamin qui s'adaptait vite et qui tirait toujours profit de la situation. En même temps, tout le monde adorait ma petite gueule de rouquin charmeur. Les périodes plus dures furent à mes douze ans, quand ma petite sœur arriva, en même temps que je commençais ma crise d'adolescence.

A cette période-là, je suppose que ce fut dur pour mes parents qui devaient gérer un nouveau bébé, ainsi qu'un jeune ado qui se croyait en guerre contre le monde entier et surtout contre eux. Je m'obstinais dans l'idée qu'ils ne me comprenaient pas, que personne ne me comprenait et que j'étais plus un enfant, suffisamment vieux pour faire mes choix, fumer, boire et ne plus être puceau. Alors je piquais des crises de nerfs contre une mère qui essayait de rester diplomate face à moi malgré l'envie de m'en mettre deux, un père qui essayait d'asseoir son autorité et de protéger sa femme déjà épuisée par la maternité de sa fille, mais qui n'avait jamais eu autant de caractère que cette dernière pour réellement pouvoir s'imposer. Je commençai donc à boire et fumer, toussant à mes premières taffes, mais continuant à tirer dessus pour me convaincre que j'étais un homme et finissant bien vite bourré et malade dans un coin car je ne savais pas encore comment gérer l'alcool.

Et bien sûr je draguais et me prenais que des râteaux, avec ma gueule de rouquin boutonneux. Ah, qu'elles étaient loin les années où j'étais un bambin à la tchatche qui faisait tomber toutes les ménagères sous mon charme... Je prenais en pleine tête la dure claque de la réalité. Je me calmai vite dans mes excès de rébellion après cette épisode de petite racaille dans ma vie d'adolescent attardé. J'arrêtai de m'en prendre gratuitement à mes parents, ne me rebiffant plus que quand j'avais une poussée d'hormone ou que j'estimais la situation injuste et tentai simplement de me chercher dans les situations qui s'offraient à moi, au lieu de leur courir après. J'arrêtai donc momentanément de me forcer à fumer pour me donner un genre, même si je retombai dedans quelques années plus tard et appris à boire avec modération.

Et puis j'ai également appris à aimer ce petit bout de chou qui commençai à tenir sur ses deux pieds et à s'accrocher à mes jambes. Ma jalousie à son égare cessa peu à peu et finalement, je devins complètement gaga de cette petite sœur que mes parents avaient conçus. Nous avions douze ans d'écart, c'était énorme, mais cela développa aussi en moi un certain instinct de protection pour cette petite fille aussi rousse que notre mère et moi. Mon père avait de quoi chouiner, les gens ne trouvaient pas qu'on lui ressemblait et certains se posaient la question de si il n'était pas cocu et que ses deux enfants n'étaient en réalité pas les siens. Mais vu l'amour fou qu'il vivait avec ma mère, c'était certain qu'on était ses enfants. Et puis, j'avais ses yeux bruns et légèrement bridés, ce qui prouvait bien mon métissage.

Et huit ans plus tard, ce fut à mon oncle d'avoir un enfant. Avec vingt ans d'écart, j'allais finalement avoir une petite cousine, en plus de ma petite sœur qui avait douze ans de moins que moi. En même temps, contrairement à ma mère qui m'avait eu tôt, lui avait eu sa fille tard, trente ans à peine passé, ce qui faisait de moi l’aîné incontesté de notre génération au sein des Dwyer. Quand j'ai su pour sa naissance, j'étais déjà partis faire des études de commerce au Japon, le pays de mon père, que j'avais toujours rêvé d'aller voir. J'adorais la culture et l'histoire qui traversait ce pays, ainsi que leur façon d'être, leurs conventions, savoir vivre... Certes ils semblaient un peu coincés, mais j'appréciais cet art de vivre qu'était le leur et pour moi il était clair que c'était le pays dans lequel je souhaitais vivre, au point de faire les démarches pour en obtenir la nationalité. Chose ardue dans un pays comme celui-ci, mais mon métissage aidant, j'eus moins de mal que bon nombre d'autres étrangers.

J'en profitai même pour faire la connaissance de mes grands-parents paternels, que je n'avais jamais eu l'occasion de rencontrer, autres que par les mails et photos que mon père et eux s'envoyaient. Ils étaient vraiment chaleureux, ce fut chez eux que je vécus les premières années d'études là-bas, refusant que je me trouve un travail à côté pour pouvoir me payer mes études et un logement. Non, pour eux je ne devais me concentrer que sur mes études, ils s'occuperaient du reste pour moi. En plus, cela leur faisait plaisir, cela les occupait, eux qui étaient à la retraite. Tous les ans cependant, je retournais pour les fêtes voir ma famille en Irlande. Je retrouvais donc mes parents et voyais grandir ma petite sœur et ma cousine, avec lesquelles je jouais toujours. J'adorais tellement ces gamines... Alyson était toujours collée à Emiko, qu'elle considérait comme son exemple, à cette époque-là.

Les années passèrent et plus de dix ans s'écoulèrent. Âgé d'environ trente-et-un ans, j'avais une vie personnelle et professionnelle toute réussie. Je m'étais marié à vingt-neuf ans à une femme que j'avais connue durant mes études et elle était enceinte de notre premier enfant. J'avais trouvé un travail en tant que simple employé de bureau dans la grande multinationale Toragumi Industries et j'en avais peu à peu grimpé les échelons. Au début j'avais cru que c'était une entreprise comme les autres, avant de finalement en découvrir la face cachée alors que j'étais presque tout en bas sur l'échelle de la hiérarchie. Une mafia. Petit stagiaire en préparation de son diplôme quand je l'avais intégrée, j'avais fini par tomber au mauvais endroit au mauvais moment. Je m'étais bien chié dessus du haut de mes vingt-trois ans quand j'avais découvert ce qu'était réellement cette industrie.

Et eux aussi avaient fait en sorte que je me chie bien dessus. Et comme j'avais découvert le poteau rose, ils ne leur restaient plus beaucoup d'alternative pour moi. Me faire disparaître à moins que je ne devienne un sous-fifre. J'avais encore toute la vie devant moi et le choix avait donc vite été fait. Ce que j'avais regretté par la suite, lorsqu'on m'avait assignée la plupart des sales besognes. Moi qui n'avais jamais frappé ou intimidé personne, je m'étais retrouvé à collecter les dettes impayées de pauvres gens dans le besoin, accompagné d'hommes intimidants qui n'hésitaient pas à user de leur force. Bon nombre de fois je partis vomir tellement cette violence était insoutenable pour moi. Parfois même j'aurais souhaité aider ces gens, quand je les voyais pleurer et me supplier, leur dire que ce n'était pas grave pour leur dette, qu'on allait l'oublier pour cette fois... Mais j'avais bien trop peur que cela me retombe dessus après et les gorilles qui m'accompagnaient étaient aussi là pour éviter que ce genre de chose n'arrive, en plus d'intimider et de forcer les gens à payer...

Puis je finis par me rôder, et finalement à ne plus rien ressentir lors des boulots supplémentaires que l'on me faisait faire en plus de mon boulot de bureau au sein de l'agence. Bien sûr, il y eu des fois où cela tourna mal et où la sécurité qui m'accompagnait ne suffisait pas à me protéger. Je dus alors prendre des cours d'arts martiaux afin de pouvoir assurer ma défense tout seul et ne plus être considéré comme un lâche. Je me blindais, autant physiquement que psychologiquement, durant ces quelques années de formation que je passais à la Toragumi Industries. Puis je finis par obtenir mon master, ainsi qu'une place déjà toute prête dans cette multinationale qui m'avait prise en stage et formée à bien d'autres choses qu'à la comptabilité. Et c'était à partir de là que j'avais commencé à gravir les échelons de l'entreprise, me faisant petit à petit un nom dans l'ombre, alors que je ne restais qu'un employé anonyme mais bien payé, officiellement. A vingt-huit ans, j'étais devenu un chasseur aguerri de l'organisation, pour laquelle je travaillais, traquant des GAHs et les dettes sans aucune pitié.

Ah, les hybrides... Quelle belle découverte avait fait ce généticien tout de même... Son projet m'avait réellement fasciné. Et dés la première vente de ces GAHs, j'en avais acheté un. Par curiosité. Je m'en étais finalement vite lassé sur le point de vu personnel, mais cette découverte avait permit à l'organisation de trouver un autre centre d'intérêt. Ils pouvaient se faire des fortunes avec ces animaux, au lieu de ne rester fixé que sur le marché de la drogue et des dettes. Ainsi donc on avait peu à peu modifié nos desseins et les membres tel que moi s'étaient retrouvés à parfois chasser des GAHs, parfois les volés ou même inventer de nouvelles dettes, que les victimes nous réglaient en nous vendant leurs GAHs. Ce marché était tellement florissant... Une véritable aubaine, dans laquelle je continuais de prendre du galon et en réputation. « Akainu » que l'on m'appelait, le chien écarlate de la mafia.

Même si au début je n'étais qu'un minable comptable que tout le monde riait, maintenant j'étais un homme redoutable qui servait le boss sans aucune once de pitié. D'abord par survie car j'avais découvert des secrets que je n'aurais pas du voir, puis finalement par désire de reconnaissance j'étais devenu l'un des membres les plus zélés de cette mafia. Ma vie n'était pas parfaite, mais elle me convenait totalement. Je n'avais plus de l'employé de bureau que le titre, mes connaissances et études en commerce m'ayant fait monter à un tout autre niveau, tout autant que mon véritable emploi chez Toragumi, j'avais par ailleurs rencontré une femme durant mes études et m'étais marié avec elle à peine quelques mois plus tôt et j'allais avoir un enfant. Je commençais à me faire de plus en plus connaitre au sein de l'organisation, ainsi que dans les zones d'ombres de la ville. Mais rien ne m'avait préparé au tournant qu'allait prendre ma vie, malgré cette facette sombre de ma vie...

« Bon alors je fais ''rraquette''. - Raquette en commençant par deux ''R'' ? - C'est ça, rraquette. - Y a qu'un ''R'' sur raquette. - Y a plusieurs nerfs sur une raquette, vous connaissez pas le tennis ! » Une nouvelle réunion de famille. Âgée de dix-neuf ans maintenant, Emiko était en train de se disputer au scrabble avec notre mère et notre oncle, les deux Dwyer de la famille qui avaient légués à toute leur progéniture une tignasse rousse. Moi à côté et âgé de trente-et-un an, je riais de cette discussion absurde. Même si ma petite sœur avait faux, elle avait juste quand même. J'en avais fait l'expérience plus d'une fois. A côté de moi, ma femme me regardait avec une expression entre exaspération et amusement. Maintenant, c'était à mon tour de jouer.

« A toi Cesair ! - Oui oui, je joue... -Il n'aurait pas un ''W'' le p'tit Cesair ? - Oui il en a un. - Pauvre lui ! - Pourquoi ? -Bah à part "wapiti" on peut rien écrire avec un ''W'' - Je suis sûre qu'il peut y arriver ! Courage, mon poussin ! » Je me grattais le menton pour réfléchir à ce que j'allais jouer, sans prendre en compte les remarques des trois autres roux de la table, autour de moi. Je pouvais vraiment rien en faire de ce "W"... Mon père et Alyson avait depuis longtemps lâché l'affaire de jouer avec nous au scrabble, on était bien trop infernaux. Heureusement que cela faisait rire ma femme, qui nous regardait jouer, même si à l'accoutumée elle préférait partir discuter avec mon père. Mais vu son état de grossesse avancée, elle avait préféré rester assise avec nous, ce qui était une sage décision. Je finis pas jouer.

« Ah ! Je savais que tu jouerais ton "W" ! C'est quoi ? "edrew" ? » Oui, sauf que ce n'était pas un ''W'' mais un ''M'' que j'avais posé sur le plateau et j'avais toujours mon putain de ''W'' ! « C'est un "M", tu lis le mot "merde" à l'envers le vieux. » J'eusse bien sûr droit aux exclamations choquées de ma mère, pendant que ma femme me fichait une calotte derrière la tête pour ma connerie. Mais n'empêche que j'étais tombé sur une lettre qui comptait triple. Une journée en famille comme les autres, comme tous les ans. Alyson venait d'avoir onze ans et devait probablement rentrer dans l'adolescence, vu qu'elle n'avait pas décroché un mot de toute la journée. Ah, la jeunesse... Cela me faisait rire et me rappelait quand à son âge je tirais tout le temps la gueule aussi. D'ailleurs la petite dernière de la famille avait fini par se lever et quitter les lieux, probablement fatiguée de voir les "vieux" jouer.

On l'avait laissée faire sans trop de résistance, sa mère ayant tout de même bien essayé de lui faire une remarque pour qu'elle reste, mais elle l'avait ignorée et était partie faire un tour dehors, avec mon paternel qui devait fumer sa clope. Et dire que j'avais commencé à fumer avant lui... Après quelques petites disputes une nouvelle fois ouverte sur le sujet des calembours que faisait ma sœur sur le plateau de scrabble, on avait entendu des cris venant de l'extérieur et tout le monde s'était précipité dehors pour voir ce qui pouvait bien se passer. On ne sut jamais réellement ce qui s’était passé ce jour-là... On avait retrouvé le corps de mon paternel mutilé dans le jardin et non loin du cadavre, ma cousine, couverte de sang. Elle avait juste prononcé cinq mots « C’est moi qui l’ai tué. » avant d'éclater de rire.

On ne sut jamais ce qui c'était réellement passé cette après-midi là... Et personnellement, je ne cherchai jamais à en savoir plus. Alyson venait de massacrer mon père, mais mon cerveau avait depuis ce jour-là, toujours refusé de se le reconnaître. Je le savais, mais je fuyais la vérité. Je fuis même tout cours après cela. Alyson fut arrêtée par la police et fut diagnostiquée schizophrène par un spécialiste. Après cela elle fut internée et je ne la revis plus jamais. Elle avait détruit ma vie. En rentrant chez nous au Japon avec ma femme, je fus suivis par un psychologue pour me soutenir dans cette dure situation, mais cela ne changea pas grand chose. Ma femme qui avait elle-même marquée par ce tragique accident, fit une fausse-couche et je commençai à m'éloigner de ma famille, de ma femme et me plongeai dans mon travail.

Ça on peut se le dire, je le réussis ! A me plonger corps et âme dans mon boulot, je gravis plus vite les échelons, au détriment de tout le reste. Ma mère partie en hôpital psychiatrique suite à une grave dépression et à des délires paranoïaques et les médecins diagnostiquèrent chez elle également une schizophrénie paranoïde. Comme sa mère avant elle et comme sa nièce. Mais je fis la sourde oreille à son malheur et ne retournai jamais en Irlande pour la voir, prétextant toujours avoir trop de travail. Ma femme me le reprocha, ainsi que le fait que je la laissais tomber, que je ne faisais plus attention à elle. Alors je tentai de faire un effort pour m'occuper un peu plus d'elle et peu de temps après, elle retomba à nouveau enceinte. Malgré que je n'avais plus de sentiments pour elle, depuis ce tragique incident. Mais je n'avais pas la force de la quitter, ni l'envie de me retrouver seul et de chercher une autre personne avec qui faire ma vie. Cet enfant, c'était la tentative de réveiller en moi mes anciens sentiments pour ma femme.

Mais malgré la naissance de mon fils en 2066, rien ne changea. Né aussi roux que je l'étais moi-même, sa mère l'appela Akamaru et je ne cherchai même pas à m'impliquer plus auprès de cet enfant qui était pourtant le mien. Il était sensé être celui qui resserrerait les liens de notre couple à ma femme et moi, mais rien ne changea. Au contraire, je fus promu au rang de lieutenant au sein de Toragumi Industries, officiellement devenant cadre supérieur, et je fus encore moins présent que je ne l'étais chez moi. Je ne me rendis même pas compte de mon éloignement grandissant entre mes proches et moi. Jusqu'à ce que finalement, ma femme réclame le divorce. Ce n'était même plus que je n'avais plus de temps pour elle ou notre fils, simplement que je ne prenais même plus le temps de le voir. Ni même de penser à eux. Du coup je ne pouvais rien dire face à sa décision, je ne pouvais que lui donner raison. Et ce fut donc sans rien dire que je me retrouvai à payer la pension alimentaire d'un fils de six ans que je n'avais pratiquement pas connu, à une femme qui se trouvait maintenant être à une inconnue.

Et cela fait maintenant huit ans que je me suis enfoncé dans une certaine routine, ne parlant quasiment plus à mon ex-femme que pour une organisation par rapport à notre fils. Au début c'était simple, je ne cherchais même pas à le voir. Trop de boulot pour ça, que je disais à chaque fois. Ce qui était le cas d'une certaine façon, étant donné mon double travail. Mais j'avais fini par arriver à l’apogée de ma carrière. J'aurai pu monter plus haut dans les échelons de la hiérarchise de la mafia et devenir l'un des plus proches hommes de main du président de la compagnie, mais j'avais refusé quand on me l'avait proposé. Je venais d'attaquer la quarantaine et même si j'avais gagné en expérience, j'avais fini par m'installer dans une petite routine qui me correspondait tout à fait à mon poste actuel. Je n'étais pas si vieux, mais dans ma tête je commençais déjà à réagir comme tel: Un petit vieux dont il ne fallait pas brusquer les habitudes. Je restais toujours assidu dans mon travail et même si cela faisait longtemps que je n'avais pas mis à la patte, les gens continuaient à me craindre de par ma réputation.

Mais avec le temps, j'avais finis par ressentir comme un manque, l'impression d'être passé à côté de quelque chose. Alors j'avais voulu commencer à renouer mon fils auquel je n'avais pas accordé suffisamment de temps. Je ne demandai pas sa garde, mais je réclamai à le voir de temps en temps, voir le garder quelques week end ou vacances. Sa mère n'y vit aucun inconvénient, mais ce dernier refusa. Âge de quinze ans quand j'avais voulu reprendre contact avec lui, il n'avait plus besoin de moi selon ses dires et m'en voulait encore très probablement de l'avoir ignoré pendant toutes ces années... Ce que je pouvais comprendre parfaitement, mais j'en étais à un stade de ma vie où je voulais rattraper le temps perdu avec lui. Un besoin égoïste de ma part probablement, moi qui n'avait jamais vraiment voulu le connaître et qui maintenant voulait le voir. Du coup malgré ses refus de me voir, je continue toujours d'espérer et de m'obstiner à le relancer. Et ce, depuis trois ans.

Je ne suis maintenant plus qu'un homme qui commence à se faire vieux, courant après le moindre contact avec son fils de dix-huit ans qui refuse encore de le voir, bloqué dans sa routine habituelle au boulot et qui commence à se faire traiter de sénile par ses collègues de la mafia. Mais ce dernier point ne me dérange pas et je les laisse faire, en jouant même de cette réputation que l'on me donne. Mais certains savent qu'il n'en est rien et qu'il vaut mieux se méfier de l'eau qui dort, tentant vainement de mettre en garde ceux qui croient que je devrais aller à la retraire (sérieusement, je suis pas si vieux...) et qu'ils pourraient à tout moment me prendre ma place. Je pars au final avec un point fort, ces jeunes gens me croient souvent trop faible pour pouvoir assurer ma position au sein de Toragumi Industries ou encore de simplement pouvoir me battre, mais quand ils osent finalement me défier, ils mordent la poussière. Cela fait des années que je suis dans le métier. Et même si je n'ai plus la force de mes trente ans, je sais toujours me battre et je reste quelqu'un de respecté...


Goûts
Comme déjà dis plus haut, je suis un épicurien par nature. Fin gourmet, j'aime les plaisirs d'un plat de qualité, que je préfère toujours à la quantité ! De toutes manières à mon âge, je dois maintenant faire attention à ce que je mange pour préserver ma santé ! Même si je ne refuse jamais un plat riche, si ce dernier est bien cuisiné ! Mais de façon générale, les plats typiquement japonais ne le sont guère et c'est pour cela que je ne me prive pas de régulièrement aller dans des restaurants traditionnels ! J'ai moi-même apprit à cuisiner comme eux, dès mon arrivée au Japon ! Il faut dire qu'ayant passé mon enfance en Ecosse, découvrir la cuisine japonaise fut pour moi le paradis ! Car ce n'est pas pour être fort en cuisine que le Royaume-Uni de façon générale est reconnu... C'est même plutôt l'inverse...

J'apprécie l'art et il n'est pas rare pour moi de visiter des musées ou des galeries, exposant anciens comme nouveaux artistes ! Il m'arrive de temps en temps de faire quelques folies en m'autorisant d'acheter un tableau d'artiste, mais cela reste rare... J'ai beau être grassement payé pour mon travail,  je ne peux guère me permettre acheter des œuvres d'art tous les quatre matins ! Et puis, visiter des galeries pour les admirer me convient très bien ! Cela me permet de sortir un peu de chez moi, de rencontrer des personnes avec qui parler de ce que nous sommes venu admirer... Par extension, j'aime également beaucoup l'Histoire ! Celle de la France, celle de l'Amérique, de l'Italie, d'Angleterre, celle du Japon... La Grande Histoire me passionne. Les plus petites également, celles qui ne se racontent pas, celles qui n'intéressent pas... Pourtant je n'étais guère doué en la matière quand j'étais plus jeune, mais en vieillissant, mon intérêt a commencé naître. Il n'est donc pas rare que j'agace les gens en citant quelques pans de l'histoire... Mais cette dernière a tellement à nous apprendre~

Je ne suis pas non plus insensible à la beauté humaine et il m'arrive encore à mon âge de proposer d'offrir un verre à une belle personne, afin de pouvoir discuter avec cette dernière et voir avec plaisir que je n'ai pas encore perdu tous mes charmes avec l'âge. Il m'arrive parfois de finir la nuit avec eux, mais cela reste très rare. J'aime les échanges que je peux avoir avec ces personnes, voire même laisser les charmes et l'art de la séduction agir. Mais la finalité que nous terminions à deux -ou plus- sous une couette n'est pas ce que je recherche en premier lieu. Parfois cela peut être agréable, certes, et malgré mon âge je reste un homme vigoureux, mais je n'aime guère cette habitude qu'ont pris les jeunes -et les plus vieux- à n'aller vers les autres que pour le besoin primitif de copuler... Nous avons évolué et -même si l'acte peut-être très agréable- nous ne sommes plus des animaux ayant besoin de se reproduire pour préserver notre espèce ! On est déjà suffisamment sur cette planète, d'ailleurs...

Sinon j'aime également la lecture, que cela soit d’œuvres anciennes comme les grands auteurs du siècle des Lumières, comme de bons romans policiers ! J'apprécie également la tranquillité, que, chose étonnante, m'apporte énormément les arts martiaux qui sont comme une sorte de méditation ! Tout comme m'occuper de mes bonsaï, que je commence peut-être à un peu trop collectionné. Je n'apprécie guère la violence, même si plus jeune elle était pour moi un défouloir à la frustration du monde dans lequel j'avais accidentellement mis les pieds. J'aime la musique classique et le jazz. J'ai découvert également les musiques traditionnelles japonaise lorsque mes premiers séjours au Japon et même si à l'époque cela ne m'intéressait pas tant que cela, j'apprécie de plus en plus ce genre musical ! J'ai cependant beaucoup de mal avec la J-pop par contre...
Logement
Ce qu'on peut dire en tout cas, c'est que travailler chez Toragumi Industries, ça paye très bien ! Surtout quand on fait partie des cadres supérieurs ! Et tout cet argent, je l'ai investis dans un appartement de 70m² en plein centre-ville au 17ème étage d'un building récemment construit. L'appartement fait tout l'étage et est accessible par un ascenseur. Très lumineux, la baie vitrée fait toute la largeur du salon et donne sur une terrasse bien aménagée avec des dalles en bois, des parterres de fleurs bien entretenu, un salon d'extérieur et quelques étagères sur lesquels prônent des bonsaï d'extérieur. L'appartement se constitue d'un grand salon ouvert sur une cuisine américaine, possède trois chambres, un bureau fermé très régulièrement à clé, une salle de bain et des toilettes séparés. Le tout est dans un style très moderne, agrémenté à quelques endroits de peinture de maître ou de bibelot tout aussi prestigieux.



Quel est ton pseudo courant ? Kya-chan
Quel âge as-tu ? 21ans
As-tu pris le temps de lire les règles ? Ha ha ! Nan je lis pas ce que j'écris moi, je suis un thug ! /POUTRE/
Quel est donc le code caché ? Validé.
Qu'est-ce qui t'a attiré sur le forum ? Son contexte et la nostalgie qui va avec~
Comment l'as-tu découvert ? Sherkan et Kali~
]Y changerais-tu quelque chose ? Toujours~


Cesair T. Akatsuki
https://hgav2.forumactif.org/t51-avec-le-temps-j-ai-fais-de-nombreuse-rencontres https://hgav2.forumactif.org/t50-les-aventures-d-un-vieil-homme-senile
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Alyson Dwyer
Les normaux
Alyson Dwyer
Alyson Dwyer
Messages : 3
Date d'inscription : 18/10/2016
Age : 28
Emploi/loisirs : Journaliste
Humeur : Sanguinaire
Les normaux
Mar 18 Oct - 21:00
Je vais faire de ta vie un enfer, Cesair d'amour ♥
Alyson Dwyer
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Cesair T. Akatsuki
Les riches
Cesair T. Akatsuki
Cesair T. Akatsuki
Messages : 4
Date d'inscription : 09/10/2016
Age : 28
Localisation : Au bar~
Emploi/loisirs : Courir après quelques jupons~
Humeur : Je ne suis qu'un papy sénile~
Les riches
Dim 22 Oct - 17:02
Merci bien chère cousine <3
J'ai enfin terminé ma fiche, my god xD
Cesair T. Akatsuki
https://hgav2.forumactif.org/t51-avec-le-temps-j-ai-fais-de-nombreuse-rencontres https://hgav2.forumactif.org/t50-les-aventures-d-un-vieil-homme-senile
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PNJ - GAH
Admin
PNJ - GAH
PNJ - GAH
Messages : 36
Date d'inscription : 06/07/2015
Age : 8
Localisation : J'te gratte le dos tu sens pas ?
Emploi/loisirs : Faire chier tout le monde !
Humeur : Viens là que je te viole le bonbon !
Dim 22 Oct - 17:12
Tu es validé


Félicitation ta fiche a enfin été validée par le staff !!! Tu peux maintenant aller faire ta fiche de liens et ta fiche de RPs afin que nous puissions suivre les aventures trépidantes de ton personnage ! Et puis, pour lui mettre un peu des batons dans les roues, tu peux aussi faire une demande d'adoption~

PNJ - GAH
https://hgav2.forumactif.org/t11-fiche-relations-exemple https://hgav2.forumactif.org/t12-fiche-rp-exemple
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